1.8 法文版 (中國以經逼政)

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Taïwan se trouve politiquement contrait par l’économie de la Chine ? Le Kuomintang (KMT), le parti au pouvoir à Taïwan a fait passé de force de l’Accord de libre-échange sino-taïwanais sur le commerce des services.

By CSSTAtranslategroup

  Aujourd’hui, lundi 17 mars 2014 le député KMT, Ching-Zhong CHANG, président de la commission des affaires intérieurs, annonça au Parlement taiwanais (Yuan Législatif), que « l’Accord de libre-échange » (Ci-après dénommer « l’Accord ») était passé en revue depuis une période de plus de trois mois, du fait de l’expiration du délai d’examen prévu pour les décrets, et que ce dernier devait être considéré comme étant un simple décret gouvernemental. Ainsi, il proclama que « ce fait est approuvé, l’Accord conservera dans le Fichier de référence. » Ensuite, il auto-déclara la séance levée. Tous ces processus ne dépasse pas à 30 secondes. Le parti au pouvoir KMT avait à l’origine proclamé de leurs respects et adhésion au compromis et à la négociations signés par tous les partis par l’examiner phrase par phrase, article par article. Néaumoins, Chang sauta de tous ces processus consultatifs, il ignora entièrement le système réglementaire d’un pays démocratique.

§ Un accord sino-taiwanais dangereux et déséquilibré

Cet accord controversé est une pièce de l’accord dans le cadre de rapprochement entre les deux économies, signé au mois de juin 2013. Celui-ci ayant pour objet de libre-échange dans les secteurs des services entre les deux nations. Sans l’évaluation sur les impacts, le KMT a accepté d’ouvrir 64 catégories industrielles à la Chine, ceux qui pourraient avoir des impacts négatifs sur le droit des entreprises et million des travailleurs taiwanais. Parmis tous ceux qui pourraient touché aux secteurs clés, tels que l’industrie de transport (aviation, navigation et transport en commun) qui pourrait emporter les risques à la sécurité nationale de Taïwan; l’industrie de communication (internet, service informatique) influencerait la liberté d’expression et de publication à Taïwan; l’industrie alimentaire entraînerait la réduite des nourritures saines à Taïwan. Aussi, si la Chine controlerait l’industrie d’imprimerie de Taïwan, la liberté de press sera certainement sous le coup de menace.

En ajoutant que cet accord est signé sous une condition d'investissement injuste. Par exemple, les entreprises chinoises ont une facilité d'immigrer à Taïwan dès un investissement de 230 000 euros, ils peuvent envoyer 2 personnes à Taïwan et ils peuvent envoyer 7 personnes supplémentaires pour 500 000€ par personne. Aucune restriction spécifique à été mentionné au sujet d'un investissement sur le marché de Chine à Taïwan. Au contraire, les entreprises taïwanaises devrons face aux différentes obstacles et conditions restrictives par l’accord, tel que les régions limitées, la législation nationales plus restrictives ou encore « les nombreux usages au-dessous de tables » à la part de la Chine. Cet accord pourrait importer plusieurs bénéfices pour les entreprises consortiums, mais il risquerait de tuer le droit de vivre des entreprises inférieures et emporterait plus de désordres dans l'environnement taïwanais.

§ Un accord sino-taiwanais anti-démocratique et injuste

L’accord signé entre KMT et la Chine en date du 20 juin 2013, n’avait en effet fait l’objet d’aucune consultation préalable, que ce soit auprès des acteurs économiques des secteurs concernés ou que ce soit auprès des chercheurs professionnels. C'est dans ces conditions absurdes que les membres du Parlement décidèrent unanimement dans un compromis en date du 25 juin 2013 d’examiner l’accord article par article. Le compromis se rallongea en septembre 2013 d’une décision d’organiser 16 missions d’information parlementaire. Le KMT, à la hâte d’examiner l’accord, organisa 8 missions parlementaires en l’espace de 3 jours (30 sep 2013 - 2 oct 2013). Aucune question posée n’obtenu de réponse et aucune suggestion a été retenue. L’accord est donc resté tel qu’il était à la signature, aucune rectification a été fait malgré les nombreuses controverses, de même à ce jour-ci.

Face à un accrod aussi important, pouvant influencer l’économie taiwanaise pour les prochaines décennies, le député de KMT, Ching-Zhong CHANG affirma lors de la dernière séance des missions parlementaires en date du 10 mars 2014, que conformément à la législation en vigueur, tout texte n’ayant pas était examiné par le Parlement dans le délai de trois mois devait être considéré comme ayant était examiné. Le DPP, parti de l’opposition inscrit dès lors immédiatement, l’examen de l’accord en commission pour le 12 et 13 mars 2014. L’examen sous la présidence du député DPP Chi-Maï CHEN fut impossible du fait du boycott des députés KMT, ces derniers arrachant le micro et déchirant l’agenda de l’ordre du jour, empêchant toute avancée dans la procédure d’examen. Puis, contre tout usage parlementaire, les députés KMT décidèrent d’examiner l’accord à leurs tours, sous leurs présidences, le 17 mars 2014. Face à l’indignation et le refus des divers partis de l’opposition, le député Ching-Zhong CHANG, président du jour, pris fuite et annonça dans le couloir du Parlement dans un micro caché : « 52 députés présents, le quorum est atteint, commençons l’examen, l’accord étant au sein du parlement depuis plus de trois mois, conformément à la loi, l’accord est jugé examiné et envoyé en formation plénière, fin de l’examen et de la session ». L’examen de l’accord n’excéda ainsi les 30 secondes et fut envoyé pour subir l’approbation du vote final du Parlement. Le porte-parole du premier ministre Li-Chun SUN réagit aussitôt par un communiqué officiel, indiquant que l’exécutif respectait la décision du Parlement et qu’il remerciait la commission ainsi que son président du jour pour ses efforts.

§ L’annexation de l’économique taiwanaise par la Chine comme instrument de pression politique et principale menace pour la démocratie taiwanaise



Le KMT par sa position majoritaire aujourd’hui au sein du Parlement de Taiwan peut en effet faire passer n’importe quel texte. Ainsi, en cas de succès de sa tentative de passage en force dans l’adoption de l’accord, l’économie taiwanaise serait immédiatement et profondément sous la dépendance de la volonté politique de la république populaire.

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